Le présent rapport devrait, grâce à tous les éléments analysés, aider les décideurs et l’ensemble des acteurs du secteur agricole dans leur prise de décision quant à l’utilisation et à la gestion des nouvelles technologies numériques en agriculture avec comme objectif afin de s’assurer que cette industrie demeure très compétitive.
La FAO, IBM et Microsoft cherchent des moyens concrets et durables d’utiliser l’intelligence artificielle dans le respect des principes d’éthique approuvés par le pape François 24 septembre 2020, Rome - Lors d'une manifestation organisée aujourd'hui à l'Académie pontificale pour la vie, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), IBM et Microsoft ont réitéré leur engagement en faveur de la mise au point de formes d'intelligence artificielle (IA) qui soient inclusives et promeuvent des moyens durables de concrétiser la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
L’agriculture souffre d’un important déficit d’image : qualité des produits jugée médiocre, non respect de l’environnement, pénibilité des métiers… La réalité est cependant tout autre. Tout en restant profondément ancré dans la vie des territoires, ce secteur est devenu numéro deux de la robotisation. De nouvelles méthodes fondées sur le traitement des données, des outils innovants, intelligents et connectés, ainsi que des réseaux de diffusion des innovations et d’entraide contribuent à transformer en profondeur l’agriculture.
Les technologies agricoles jouent un rôle central dans la production alimentaire mondiale. Une étude récemment publiée par le Conseil des technologies de l’information et des communications (CTIC) s’est penchée sur la question. On y fait valoir que les technologies sont nécessaires à l’amélioration de l’efficacité de la production agricole et de la durabilité des denrées alimentaires.
L’Afrique Subsaharienne n'a pas assez bénéficié des grandes révolutions connues du monde agricole qui ont permis d’accroitre les productivités. Malgré l’existence des nouvelles technologies, les niveaux des productivités agricoles demeurent faibles et inférieurs à ceux d’autres régions en développement. Un certain nombre de facteurs, dont les contraintes à l’adoption des nouvelles technologies, pourraient expliquer ces faibles productivités.
A la quête de meilleures conditions de vie, les citadins se sont souvent approprié les technologies de l'information et de la communication (TIC). Ces TIC ont atteint aujourd’hui le milieu rural et il est utile de s’intéresser aux transformations structurelles qu’elles apportent en milieu agricole. Cette quête d’information est au centre de la curiosité qui fonde la conduite de cette recherche. L'imaginaire collectif semble considérer le milieu rural comme l'espace du chaos où la pénibilité déconstruit l'ambition du progrès.
La demande croissante de denrées alimentaires, à la fois en quantité et en qualité, a accru la nécessité d'intensifier et d'industrialiser le secteur agricole. L'Internet des objets est une famille de technologies très prometteuse, capable d'offrir de nombreuses solutions pour la modernisation de l'agriculture.
Depuis que les êtres humains sont passés à un mode de vie agraire, les progrès technologiques ont permis des évolutions dans l'agriculture, résultant en de plus grandes variétés et rendements des cultures. Après les révolutions de la sélection végétale et de la génétique, une troisième révolution verte prend le contrôle du monde agricole basé sur l'application des technologies de l'information et de la communication (TIC) telles que les capteurs et actionneurs, l'Internet des objets (IoT : Internet of Things), l'intelligence artificielle, les véhicules aériens sans pilote (UAVs, drones).
L’agriculture doit faire face à un défi majeur : nourrir la population en constante augmentation. Ce secteur a toujours été porté par l’innovation et connaît une accélération de sa transformation avec le numérique et l’Internet des objets (IOT). Explications.
Le programme de la GIZ intitulé « Amélioration des conditions-cadres dans le secteur privé et financier (ProEcon) » vise à promouvoir le développement économique au Zimbabwe. Parmi les projets conçus à cet effet figure la promotion des cycles économiques en milieu rural. Se fondant sur l’agriculture contractuelle comme instrument efficace, le projet ProEcon appuie l’intégration des petits exploitants agricoles dans les chaines de valeur, l’objectif étant d’augmenter leurs possibilités de revenu.