Depuis toujours, l’agriculture repose sur la modification de la constitution génétique des plantes et des animaux. Grâce à la reproduction sélective, d’innombrables générations de cultures et d’animaux ont été sélectionnées en fonction de caractères jugés bénéfiques pour l’être humain.
Grâce à la participation de près de 250 experts de tous les coins du monde, le colloque international sur la sécurité alimentaire et la nutrition à l’heure des changements climatiques (ci-après “colloque”) a mis en évidence l’importance des systèmes agricoles et alimentaires dans la lutte contre le changement climatique, et présenté des solutions concrètes et multisectorielles afin de faire face à cet enjeu mondial.
Le projet PPILOW vise à coconstruire, grâce à une approche multiacteurs, des innovations améliorant le bien-être des volailles et porcs élevés en systèmes biologiques et de plein air à bas-intrants. Le projet crée avec les utilisateurs finaux des outils d'auto-évaluation du bien-être, des stratégies innovantes d'élevage améliorant la santé et la robustesse des animaux, favorisant les comportements positifs, évitant la castration des porcelets et l’élimination des poussins mâles de souche ponte.
La filière porcine aux Antilles doit faire face à plusieurs défis dont celu i de l’augmentation de sa contribution à la consommation locale de viande. La production de porcs dans nos régions est soumise à des contraintes spécifiques locales (insularité et éloignement de l’U nion Européenne) et des contraintes communes aux autres régions tropicales (f acteurs climatiques, disponibilité des ressources alimentaires, etc..).
L’étude propose une série de mesures qui s’avèrent nécessaires et urgentes pour sauver, consolider et revoir le secteur agricole dans cette situation entourant le coronavirus en Tunisie, et ce, afin de pouvoir penser l’après-Covid-19.
Une évaluation approfondie du système de vulgarisation agricole tunisien montre que des paquets technologiques améliorés destinés au système de production agricole mixte élevage-orge en Tunisie semi-aride permettent d’économiser jusqu’à 40 % des coûts d’alimentation du bétail, mais ne sont pas largement adoptés. Les faibles taux d’adoption sont typiques pour de nombreuses technologies approuvées dans les pays en voie de développement.
En Tunisie, l’agriculture fait sa révolution numérique: Capteurs installés dans les conduits d’irrigation et dans le sol, colliers émetteurs au cou des vaches… Le monde agricole tunisien est en pleine mutation.
Le journal de tous les Burkinabè: Sidwaya.
La population mondiale atteindra probablement les neuf milliards de personnes d’ici le milieu du siècle. Selon les estimations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il faudrait augmenter la production alimentaire de 60 pour cent pour les nourrir. Ces produits alimentaires supplémentaires devraient dans l’idéal être produits là où ils sont censés être consommés, c’està-dire dans les pays en développement. Pour y parvenir, ces pays doivent augmenter sensiblement leur production.
Dans le cadre du Projet de développement agropastoral et des filières associées dans le Gouvernorat de Médenine (PRODEFIL) en Tunisie, par exemple, plus de 140 kilomètres de route ont été construits. Il aurait fallu deux jours sur place pour passer en revue ces routes sur toute leur longueur. Google Earth a permis de le faire en quelques heures seulement. D’autres installations ayant fait l’objet d’investissements dans le cadre du projet, tels que des barrages et des serres, sont également visibles par satellite.