Ce manuel illustre le changement climatique et ses impacts sur l’agriculture au Sénégal.
USAID/CINSERE (Services d’information climatiques pour améliorer la résilience et la productivité au Sénégal) est un projet de 4 ans qui vise à renforcer les capacités nationales pour la production, l’accès et la diffusion efficiente d’informations météorologiques et climatiques (IMC) et à développer des stratégies pour une mise à l’échelle durable de l’utilisation des services d’information météorologiques et climatiques (SIC) sur toute l’étendue du territoire sénégalais.
In 2016 and 2017, the Feed the Future Senegal Naatal Mbay project, funded by the United States Agency for International Development (USAID), conducted a study on women’s empowerment in agriculture to determine the level of empowerment among participating households and to identify the main constraints to empowerment.
Many countries are facing growing levels of food insecurity, reversing years of development gains, and threatening the achievement of Sustainable Development Goals by 2030. Even before COVID-19 reduced incomes and disrupted supply chains, chronic and acute hunger were on the rise due to various factors, including conflict, socio-economic conditions, natural hazards, climate change and pests.
The COVID-19 pandemic and the measures taken by governments on social distancing and mobility restrictions have contributed to boosting the use of digital technology to bridge some of the physical access gaps. An increasing number of services and extension/information activities are delivered through digital tools and applications. E-commerce has also flourished. As a result, the potential of digital technologies has gained prominence in immediate response and recovery strategies and programmes.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
This collection of posters from the TAP-AIS project illustrates key achievements of the project towards strengthening national agricultural innovation systems (AIS) in Africa (Burkina Faso, Eritrea, Malawi, Rwanda, Senegal), Latin America (Colombia), Asia and the Pacific (Cambodia, Lao PDR, Pakistan). For each of these nine countries, and for their respective regions, the posters provide: i) thematic focus and context; ii) constraints in the AIS; iii) capacity development interventions; iv) outcomes; v) the way forward.
L’approche Champs-Écoles Producteurs (CEP) est introduite au Ghana en 1996, au Niger en 1999 et au Sénégal en 2000 via le projet « Gestion intégrée de la Production et des Déprédateurs (GIPD) » soutenu par la FAO.
Matrices de thèmes pour la formation des facilitateurs CEAP
Le Sénégal à l’instar des autres pays de la zone sahélienne est très vulnérable au changement climatique (CC). Cette vulnérabilité est liée à la dépendance de sa population rurale à une agriculture pluviale fragilisée par de multiples contraintes structurelles, notamment la variabilité interannuelle et inter-saisonnière des précipitations, la baisse de la fertilité des sols et les difficultés d’accès aux intrants et services agricoles (Albert et Springer, 2004).