L’agriculture familiale est le modèle d’exploitation le plus répandu en Europe. À ce titre, elle assure depuis des siècles la prospérité du secteur. L’ambitieux cadre stratégique mis en place par l’Union européenne a été conçu pour tenir compte des différents modèles d’agriculture qui coexistent sur son territoire, en ce compris les divers types d’agriculture familiale.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
PAEPARD appuie et assiste trois consortiums de recherche liés à l’aflatoxine dans leur travail destiné à : (a) éradiquer les déchets de l’aflatoxine avant et après les récoltes dans la filière arachide au Malawi et en Zambie ; (b) développer des stratégies visant à réduire la contamination par des toxines fongiques pour améliorer l’approvisionnement alimentaire, la nutrition et les revenus le long de la filière maïs dans les zones arides et semi-arides de l’est du Kenya ; et (c) développer des protocoles de gestion des aliments du bétail pour les producteurs laitiers dans les zones à forte
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
This paper addresses the question how public-private partnerships (PPPs) function as systemic innovation policy instruments within agricultural innovation systems. Public-private partnerships are a popular government tool to promote innovations. However, the wide ranging nature of PPPs make it difficult to assess their effects beyond the direct impacts they generate for the partners.
The aim of this study is try to assess the potential of a hybrid approach to unravel consumer behaviour in agri-food markets. Concretely, the hybridization of the attitudinal approach, by means of the classical-utility theory, is explored, which represents a novelty in the literature where those attempts are truly scarce for foodstuffs.
Among other functions, the INIA is involved in national and international cooperation in the field of agri-food research. The process of identifying and classifying gaps in our knowledge forms an essential part of this effort. This article describes that process, the tools and the materials used to achieve the final objective, namely, the identification of research priorities in the Spanish agri-food sector in order to deal with the societal challenges posed by society and the stakeholders involved.
The aim of this paper is to analyse whether the family control exerts a significant influence on profitability in agri-food companies that have been vertically integrated. This assumption is based on the idea that family-owned firms better overcome the internal conflict that arises in a company by reducing transaction costs. We have analysed the determinants of the profitability and its annual increase, considering the kind of company and its sector
The current market situation has led the production sector to focus on developing new products that satisfy consumer demands and improve firms’ competitive positions. This study seeks to analyze the role played by the consumers’ innovative tendency in the acceptance of new food products. This was done through the use of means-end chain theory in an application for coffee in Spain
This paper studies the relationship between internationalization and performance in agri-food firms. In line with the recent literature, it analyses the effects of the degree of internationalization using a uniform sample, a long-term focus and a measure that combines export intensity and regional diversification. The study empirically confirms the hypothesis of a horizontal S-curve relationship between geographical diversification and performance and identifies three phase