Contract farming has gained in importance in many developing countries. Previous studies analysed effects of contracts on smallholder farmers’ welfare, yet mostlywithout considering that different types of contractual relationships exist. Here, we examine associations between contract farming and farm household income in the oilpalm sector of Ghana, explicitly differentiating between two types of contracts,namely simple marketing contracts and more comprehensive resource-providing contracts.
Poverty is prevalent in the small-farm sector of many developing countries. A large literature suggests that contract farming —a preharvest agreement between farmers and buyers— can facilitate smallholder market participation, improve household welfare, and promote rural development. These findings have influenced the development policy debate, but the external validity of the extant evidence is limited. Available studies typically focus on a single contract scheme or on a small geographical area in one country.
In the remote upland regions of Laos many farming families live in relative poverty, relying on subsistence agriculture. Farmers need effective extension services to provide advice on commercial and technical options to supplement traditional practices and improve their livelihoods. One of these options is small-scale livestock production. However, the quality and quantity of extension staff working in livestock production is limited. Improving the knowledge and skills of extension staff working with upland ethnic minorities is a key goal of the Lao Ministry of Agriculture and Forestry.
El principal propósito de este artículo es contribuir a una mejor compresión del significado de los valores en las competencias individuales y colectivas; con tal objeto, se realizó una investigación teórica, basada en un amplio marco conceptual, del que se obtienen —y en su momento integran— distintas vertientes de análisis.
En este artículo se presenta y discute la información fruto de los talleres realizados durante el 2007 y 2008 en los Centros Locales de Innovación Agropecuaria (CLIA), con la participación de productores y otros actores locales en nueve provincias del occidente, centro y oriente cubano. Se muestra el caso del CLIA Las Tunas.
A complex systems approach to innovation provides rich insights into the drivers, barriers, and key elements for innovation in rural systems. Through a case study of dry direct seeding (DDS) in smallholder systems in Laos, this article reveals a “perfect storm” of challenges and opportunities resulting in rapid adoption. Labour shortage, climate variability, and machinery availability are key factors.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).